Cover rapport activité

Les Hommes et les Femmes, les productions et les territoires sont les piliers de notre syndicalisme.

20000

syndicats locaux

12

fédérations régionales

95

fédérations départementales

31

associations spécialisées

212000

adhérents

« Si je devais résumer l’année 2019, je retiendrais avant tout notre volonté de réconcilier l’agriculture et nos concitoyens. »

Christiane Lambert, Présidente de la FNSEA

Au cœur du dialogue

La FNSEA, force de propositions, est présente dans toutes instances de concertation et entretient des relations privilégiées avec de nombreux partenaires.

Agroalimentaire, Distribution, Restauration, Consommateurs
Ruralité, territoires, collectivités
Dialogue social, Protection sociale
Enseignement et formation, Recherche et développement
Protection de l’environnement, énergies renouvelables, bien-être animal
Aide alimentaire (SOLAAL), appui au développement à l’international (AFDI), Europe et international

L’année 2019 en tweets

@FNSEA

ÉCONOMIE ET DÉVELOPPEMENT DURABLE

Reconquérir durablement nos parts de marché.

Rien sur le plan économique et environnemental ne doit être laissé au hasard. C’est pourquoi, totalement consciente des enjeux de court, moyen et long terme, la FNSEA entend que les agriculteurs, véritables acteurs du développement durable dans les territoires, puissent décemment vivre du fruit de leur travail, en livrant aux consommateurs de produits sains, de qualité et identifiés comme tels, dans le respect des enjeux du changement climatique actuels et à venir.

Permettre aux agriculteurs de pouvoir concilier activité économique et transition écologique est la clé pour assurer une croissance durable de l’agriculture

EGA : la boîte à outils et le syndicalisme économique.

Les États généraux de l’alimentation (EGA) étaient un rendez-vous attendu par tous, notamment pour mettre un terme à la guerre des prix toujours plus bas. Les outils de contrôle mis en place par les EGA permettent de mieux observer et dénoncer les pratiques abusives. Mais à la fin 2020,  il faudra donner une suite à l’expérimentation sur l’encadrement des promotions et sur le relèvement des seuils de revente à perte. La FNSEA reste également vigilante sur les alliances à l’achat.

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« Tous les outils disponibles permettent aux territoires de se mettre en action auprès des différents opérateurs économiques, à commencer par les OP et coopératives, mais également les industriels privés et les enseignes de la grande distribution. »

L’approvisionnement français

Manger, chez soi ou hors foyer, des produits sains d’origine France clairement identifiés, est l’un des objectifs fixés par la loi Egalim. La FNSEA, qui a toujours soutenu cette démarche, entend que tous les opérateurs accroissent la part des produits alimentaires français dans les restaurants indépendants. Elle veillera aussi à ce que les produits ne respectant pas les conditions européennes de production ne puissent pas être commercialisés en France.

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« 50% de produits de qualité, dont 20 % de produits bio en restauration collective d’ici le 1er janvier 2022. »

La bataille de la compétitivité

La compétitivité de nos entreprises agricoles passe par la réduction des distorsions de concurrence qu’elles soient technologiques, biologiques, sociales, commerciales, normatives ou autres. Elle passe aussi par l’innovation et la recherche de nouveaux débouchés. C’est pourquoi la FNSEA s’est engagée avec les représentants du secteur agroalimentaire dans un pacte productif qui permette de reconquérir des parts de marché, dans le respect des enjeux du changement climatique.

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« Aller au-delà des résultats des EGA, vers une politique économique « pro-business » qui favorise la reconquête des parts de marché de la filière alimentaire. »

Les acteurs du développement durable dans les territoires

Depuis plusieurs années, la FNSEA met en avant le rôle positif de l’agriculture pour la biodiversité́ et la nécessité́ de reconnaître la valeur des services environnementaux agricoles. Impliquée dans de nombreuses démarches (Epiterre, Cop 15 biodiversité, Agrifaune…) et avec l’appui de son Contrat de solutions, elle entend faire reconnaître le rôle primordial des agriculteurs comme acteurs majeurs du développement durable dans les territoires et de l’économie circulaire.

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« La FNSEA s’est fortement mobilisée dans le cadre de la loi Energie Climat dont l’objet est d’intégrer l’objectif de neutralité carbone pour 2050 à la réglementation française. »

Les décisions européennes et leur mise en œuvre française

Pour la FNSEA, l’agriculture doit être replacée au cœur du projet européen et se recentrer sur la Politique agricole commune qui constitue l’un des ciments de l’identité économique des 27. Influente au sein des instances communautaires, la FNSEA porte le Plan stratégique national Post Pac 2020. Elle plaide pour une Europe plus harmonisée et solidaire, qui maintienne des conditions de concurrence équitables et qui s’affirme, de tout son poids, sur la scène internationale.

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« Tout en réaffirmant clairement un engagement pro-européen, la FNSEA a souligné les incohérences du projet européen. »
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Structures & territoires

Pas de pays sans paysans.

La FNSEA plaide pour un développement harmonieux des espaces ruraux où chacun ait sa place, en particulier les agriculteurs. Où chacun puisse sereinement y créer et faire fructifier son activité économique, y vivre en toute tranquillité. Où chacun puisse accéder à une large gamme de services (Internet, médecine, culture, loisirs, sports, ). Élus, artisans, commerçants, agriculteurs et citoyens ruraux sont engagés pour rendre les territoires ruraux vivants. Parce qu’il n’y a pas de pays sans paysans.

La FNSEA veillera à la prise en compte des intérêts du monde rural dans la nouvelle architecture territoriale

Le foncier agricole : objectif zéro artificialisation nette

Pour produire et nourrir la population, les agriculteurs disposent chaque année, de moins en moins de terres. Des centaines de milliers d’ha partent chaque année à la construction de sites urbains, routiers et industriels, privant les exploitants agricoles d’une partie de leur outil de travail et de leurs revenus. La FNSEA demande un moratoire sur cette évasion foncière et que les engagements de l’État sur le « zéro artificialisation nette » se traduisent juridiquement.

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« Accompagner les collectivités territoriales dans la lutte contre l’artificialisation des sols, et contribuer à l’objectif « zéro artificialisation nette » inscrit dans le plan pour la biodiversité de 2018. »

Le combat de la FNSEA contre les attaques des grands prédateurs

La FNSEA plaide pour une régulation raisonnée des grands prédateurs que sont notamment le loup, le lynx et l’ours. Leur présence, traumatisante pour les éleveurs, se révèle difficilement compatible avec le pastoralisme et va jusqu’à menacer les activités touristiques rurales. Ayant déjà obtenu de nombreuses avancées sur ce dossier, la FNSEA propose de nouvelles actions pour que les éleveurs et les bergers puissent protéger leurs troupeaux.

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« La présence de prédateurs est incompatible avec l’activité d’élevage en plein air. »

Des territoires ruraux vivants, une priorité pour la FNSEA

Le monde rural dispose d’incroyables atouts (qualité de vie, espace, paysages, prix de l’habitat attractif, … ) qui restent méconnus et inexploités. C’est pourquoi la FNSEA plaide pour l’existence d’une « politique de la ruralité » comme il existe une politique de la ville. Dans ce cadre, l’État doit développer et renforcer ses politiques d’accès à la culture, aux transports, à la fibre optique, à la santé (etc.), en s’appuyant sur l’expérience des élus ruraux et des agriculteurs.

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« Auditionnée par la mission ruralité le 11 juin 2019, la FNSEA y a rappelé le rôle de l’agriculture dans les territoires ruraux mais également le besoin des agriculteurs d’accéder aux services de base tant dans leur vie professionnelle que personnelle. »
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Vie des entreprises

Travailler en toute sérénité.

Soumis aux aléas climatiques parfois violents qui mettent en péril l’équilibre financier de leurs exploitations, les agriculteurs subissent des attaques injustifiées venant d’une frange radicale de la société. A cela s’ajoutent des contraintes juridiques et fiscales qui pèsent plus lourdement sur leur quotidien. Soucieuse de donner aux agriculteurs les moyens d’exercer leur métier et d’en vivre, la FNSEA s’est emparée de ces dossiers afin d’améliorer la vie des exploitants et leur permettre de travailler en toute sérénité.

Il faut donner aux agriculteurs de la visibilité dans la conduite de leur activité et de la stabilité dans leurs revenus tout en mettant en avant le principe de responsabilité.

La gestion des risques

Les événements climatiques (grêle, sécheresse, gel, pluies diluviennes…) pèsent lourdement sur l’activité et l’économie agricoles. Anticiper et faire face aux risques est indispensable. De même la mobilisation du fonds national de garantie des calamités agricoles se révèle crucial mais ces dispositifs restent insuffisants. C’est pourquoi la FNSEA demande l’application d’un plan de mesures qui notamment s’appuye sur l’innovation et l’investissement et garantisse la transparence des contrats d’assurance.

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« Dans un contexte de changement climatique, qui engendrera des événements de plus en plus intenses et dont la fréquence augmentera dans les années à venir, il est indispensable que la concertation sur les outils de gestion des risques aboutisse. »

L’agribashing

Montrés du doigt, vilipendés, cloués au pilori, stigmatisés, et parfois pris physiquement à partie, les agriculteurs disent « stop » à l’agribashing. Grâce à l’action de la FNSEA, le ministère de la Justice a adressé́ une note aux procureurs et magistrats afin qu’ils poursuivent et sanctionnent systématiquement ces actes. De plus, la FNSEA et la Direction générale de la gendarmerie nationale ont conclu une convention de partenariat permettant aux agriculteurs et aux gendarmes de mieux communiquer.

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« Les attaques verbales et physiques à l’encontre des agriculteurs sont en augmentation, et de plus en plus violentes. »

La fiscalité des carburants

Le poste « carburant » n’a cessé, au cours des dix dernières années, de grever le budget des agriculteurs, notamment sous l’effet de l’augmentation des taxes gouvernementales (+ 31,7 % sur cinq ans), notamment la taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques (TICPE). La FNSEA qui a obtenu des avancées significatives sur ce dossier souhaite développer des alternatives crédibles aux carburants carbonés, notamment au profit des agriculteurs.

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« La transition agricole nécessite des mesures économiques et fiscales à même d’accompagner l’ensemble des exploitants agricoles. »

Affaires sociales

La FNSEA au cœur du dialogue social.

La FNSEA s’investit au quotidien pour faciliter la vie des agriculteurs, des salariés et des apprentis, et apporter aux aînés, la sérénité d’une retraite bien méritée. Elle souhaite développer les compétences de chacun, dans un cadre juridique rénové, et participer pleinement au nécessaire dialogue social qui rythme la vie des exploitations.

Aujourd’hui, les différents chantiers ouverts par le Gouvernement (dialogue social, restructuration des branches, réforme du Code du travail) sont l’occasion pour la FNSEA de faire valoir ses attentes en amont.

La réforme des retraites : améliorer les droits des exploitants

740 euros par mois : telle est la retraite moyenne d’un ancien agriculteur contre 1390 euros (moyenne nationale) pour une carrière complète. Devant une telle injustice, la FNSEA a réclamé l’instauration d’un système universel de retraites en permettant aux anciens exploitants d’émarger, a minima, à 1.000 euros net/mois. D’autres dossiers sont sur la table : droits attachés aux membres de la famille ; prise en compte de la pénibilité ; cumul activité/retraite, etc.

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« La FNSEA a obtenu le relèvement des minima de pension à 85% du SMIC pour les futurs retraités. »

Une convention collective nationale pour les entreprises de la production agricole et les CUMA

Répondant à la demande du Président de la République, la FNSEA a impulsé le dialogue pour reconfigurer les 140 conventions collectives territoriales agricoles existantes en une seule, de portée nationale. Cette nouvelle convention collective, qui concerne aussi les CUMA, doit répondre aux besoins de compétitivité́ des entreprises agricoles. Le futur dispositif conventionnel sera simple et sécurisé. La FNSEA prend une part active au dialogue social et à la rénovation de la vie paritaire.

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« La future convention collective doit être bien réfléchie pour devenir un outil de gestion de l’emploi agricole. »

La réforme de la formation continue et de l’apprentissage

La libéralisation de l’apprentissage implique une attention particulière de la profession pour maintenir une offre de formation diversifiée sur l’ensemble du territoire. C’est pourquoi la FNSEA a su affirmer sa place pour renforcer la prise en compte des petites entreprises du monde agricole, qu’elle a conçu une formation à distance à destination des maîtres d’apprentissage et qu’elle a porté une attention particulière à la formation continue des exploitants via le compte professionnel de formation (CPF).

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« L’année 2019 a largement été consacrée à la construction du nouvel outil de gestion des fonds de la formation OCAPIAT, opérateur de compétences remplaçant les OPCA et marquant notamment la fin du FAFSEA. »
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Vie du réseau

La FNSEA toujours à vos côtés.

Défendre les intérêts des agriculteurs et de ceux qui concourent à la vie syndicale, quelle que soit leur condition : femmes, retraités, directeurs, fermiers, animateurs, propriétaires, président, secrétaire général… Telle est la vocation de la FNSEA qui, une fois encore, s’est mobilisée sur tous les fronts. Une mobilisation de tous les instants qui s’est révélée payante dans bien des domaines.

La dynamique voulue par la mise en place de la cellule de développement de services va s’accentuer en 2020

L’année syndicale 2019 : élections, réflexion, solidarité, mobilisation

L’année syndicale 2019 a été chargée pour la FNSEA avec la campagne pour l’élection aux Chambres d’agriculture, les nombreuses manifestations, avec les Jeunes Agriculteurs, contre les traités CETA et Mercosur, pour les contrôles de prix et d’origines dans les GMS et la RHF. La solidarité pour venir en aide aux agriculteurs touchés par les intempéries (gel, inondations, canicule et sécheresse) a mobilisé nombre de nos adhérents.

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« N’importons pas l’alimentation que nous ne voulons pas. »

La réflexion, la formation et l’accompagnement dans les FDSEA

Parce qu’un personnel bien formé concourt à la réussite du collectif, la FNSEA a lancé en 2019, la première promotion de la nouvelle formation des directeurs en « management, responsabilités et performance ». Animateurs, présidents et secrétaires généraux de FDSEA n’ont pas été oubliés et la FNSEA envisage d’étendre les formations aux responsables cantonaux. Objectif : renforcer la cohésion des équipes et construire les projets de mandature.

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« Quatre orientations ont guidé la réflexion : la qualité, la reconnaissance, l’efficacité, l’accessibilité sur le plan financier. »

Le développement des services : la mise en place d’une cellule dédiée

Depuis plusieurs années, la FNSEA, en lien étroit avec son réseau, souhaite accroître la dynamique autour du déploiement des services marchands. Cette démarche est liée à l’évolution des organisations, de leur environnement mais aussi aux attentes des agriculteurs. Méthode, projets, action, partage seront quelques-uns des mots-clés de l’année 2020.

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« Une cellule dédiée au développement des services auprès du réseau FNSEA a été lancée en 2019. »

La Carte Moisson : un plus pour l’adhérent

La Carte Moisson matérialise l’adhésion au réseau FNSEA. Elle fait bénéficier aux agriculteurs ainsi qu’à leur famille, de nombreux avantages comparables à ce que peut offrir un comité́ social et économique (CSE). Elle a été conçue dans l’esprit d’apporter un service supplémentaire aux adhérents.

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« Avec 160 000 ayants droit, la carte Moisson permet aux agriculteurs ainsi qu’à leur famille, de bénéficier de nombreux avantages. »

La Section nationale des anciens exploitants

Lieu d’échange et de convivialité́, la Section nationale des anciens exploitants (SNAE) s’attache à défendre les intérêts des retraités agricoles : accès aux soins, montant des retraites, conditions de vie… Sa forte mobilisation en 2019 a permis une avancée cruciale sur le dossier des retraites agricoles. L’année 2020 promet d’être tout aussi active !

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« La SNAE s’est mobilisée pour la revalorisation des retraites à 85% du SMIC. »

La Commission nationale des agricultrices

En France, en 2019, les agricultrices représentent 30 % des actifs permanents agricoles contre 8 % en 1970. Un quart des chefs d’exploitation ou co-exploitants sont des femmes. La Commission nationale des agricultrices (CNA) poursuit l’œuvre engagée par les pionnières et va encourager l’installation des femmes en agriculture et poursuivre son travail de lobbying et de communication auprès des élus(es) politiques.

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« La CNA a mené des actions fortes sur l’engagement des agricultrices et l’encouragement à la prise de responsabilité. »

SNFM : une avancée significative des propositions sur le statut du fermage

L’année 2019 a été marquée, pour la Section nationale des fermiers métayers (SNFM) par de nombreuses rencontres avec les propriétaires, notamment sur la réforme des tribunaux paritaires des baux ruraux (TPBR) et sur l’évolution du statut du fermage. Cette dynamique servira de référence à la mise en place de la future loi foncière et à mettre en lumière le travail des fermiers dans la protection de l’environnement.

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« La SNFM et la SNPR ont abouti à un accord sur quatre propositions d’évolution du statut du fermage. »

SNPR : vers un portage du foncier attractif

Fortement investie dans les élections Chambre en 2019, la Section nationale des propriétaires ruraux (SNPR) souhaite faire évoluer les règles relatives à la fiscalité́ des baux ruraux afin que celles-ci soient en phase avec les intérêts économiques et environnementaux des terres agricoles : un chantier majeur de la SNPR lors de la loi de finances pour 2021.

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« Les rencontres avec la Section nationale des fermiers et métayers (SNFM) de la FNSEA se sont poursuivies en 2019 afin de trouver un accord sur une évolution du statut du fermage. »

Communication

FNSEA, faire aimer, faire rayonner et modifier durablement l’image de l’agriculture française.

A la confluence de la presse écrite, audiovisuelle et des réseaux sociaux, la FNSEA se donne pour mission de revaloriser l’image de l’agriculture dans un contexte de défiance à son encontre et se tient prête à rectifier toutes les désinformations et « fake news » qui pourraient être publiées. Cette communication passe également par l’offre de service « affaires publiques » en direction des acteurs institutionnels.

La FNSEA souhaite modifier durablement l’image de l’agriculture française en initiant des chantiers structurels.

Une vigie permanente sur l’actualité

Devant gérer une communication multiforme, avec les influenceurs, les supporters, les contradicteurs et les journalistes, la FNSEA est sans cesse vigilante sur l’image agricole rendue par les médias. Analyse, stratégie, valorisation : la FNSEA fournit, à tout moment, aux responsables syndicaux les éléments nécessaires à une prise de parole efficace et audible par tous leurs publics.

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« L’enjeu est de faire émerger et exister les messages et l’action syndicale de la FNSEA dans cette cohorte de contenus protéiformes, et de toucher au bon moment et sur les bons canaux nos cibles : agriculteurs, institutionnels et grand public. »

La communication, une fonction support

La FNSEA s’attache à donner de la visibilité́ aux travaux et propositions de ses différentes commissions, afin d’en valoriser les messages, d’en harmoniser la lisibilité́ pour ses auditoires . Elle organise de nombreux rendez-vous syndicaux et institutionnels (Tour de France, Salon de l’agriculture, etc… ) afin de démultiplier l’impact de sa communication.

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« Il s’agit d’optimiser le message initial, d’en élargir la portée tout en garantissant la cohérence du message. »

La stratégie de fond

Faire aimer, faire rayonner et modifier durablement l’image de l’agriculture française en y associant les autres organisations agricoles. Telle la stratégie de fond de la FNSEA qui veut rendre une image réelle et vraie d’un métier trop souvent bafoué par simple méconnaissance du sujet. Cette communication qui s’appuie aussi sur les nouveaux médias se révèle un outil incontournable pour recréer du lien entre la société et les agriculteurs.

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« Asseoir le rôle de l’agriculture française dans la préservation et la valorisation de la biodiversité et ainsi contribuer à corriger l’image dominante d’une agriculture destructive de l’environnement. »

Le retour sur les rendez-vous incontournables

Le Salon International de l’Agriculture (SIA) : cet événement a été l’occasion pour la FNSEA d’aller à la rencontre de tous ses publics : réseau, agriculteurs prospects, acteurs du monde agricole, interlocuteurs institutionnels et politiques et grand public.

Le Salon International du Machinisme Agricole (SIMA) : pour la FNSEA, cet événement était marqué par des rendez-vous novateurs tels que les énergies renouvelables, la présentation des premières entreprises labellisées « DATA-AGRI », un apéritif « Tweetapéro #Cofarming » et le traditionnel jeu concours de la Carte Moisson.

Le marché Terre de France : Le 13 octobre pour la 26e édition, en partenariat avec la FDSEA de l’Yonne, vingt-six producteurs étaient présents afin de proposer leurs produits en direct des exploitations et d’échanger avec les consommateurs parisiens.

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